Un très beau site toujours disponible sur l'exposition Claude Monet au grand Palais en 2010
http://www.monet2010.com/fr#/home/
(envoi deJP)
Images , petites phrases humoristiques et/ou ironiques Attrapées au vol sur la toile et autres nuages Pour un petit sourire ou grand éclat de rire Et surtout se divertir de tout.
samedi 14 décembre 2013
Exposition Claude Monet au grand Palais en 2010
historique du la création du père Noel. de Saint Nicolas à Santa Claus à Coca cola histoire d'un détournement!
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDfVWo-3_JEJeoGtVYXD-jzxBFs5QCCsldi-C4GD9FKQ_E4iapOflM3IifzfUhY3YUqUOdRonBMrfT6Xk4RF2IwUJYe4ZnPBtBvW4ysBXpRbK9yG4e6k-Th9jRnlGbBUZ-7FgK-qGKb_Y/s400/20071226CocaSantaClaus.jpg)
Puis, il y eut Jésus-Christ, apparu on ne sait quel jour car les Evangiles ne disent rien sur le sujet.
Dans les premiers instants du christianisme, d'ailleurs, on fêtait la naissance du Christ selon le bon vouloir du Pape du moment, entre les premières dents du petit et les semailles des graines d'artichaut.
Mais au IVe siècle, il devint urgent de se mettre d'accord : dans l'Empire romain, le christianisme se trouvait en concurrence avec des centaines de religions, dont certaines très influentes.
Parmi celles-ci figurait le mithriacisme, culte du dieu Mithra, venu de Perse plusieurs siècles avant J.-C. et dont la fête officielle était fixée au 25 décembre. En 274, l'empereur Aurélien s'était inspiré de Mithra pour inventer le culte de Sol Invictus (Soleil invaincu), dieu auquel il attribua ses victoires militaires en Orient, et dont il décida, lui aussi, que la célébration officielle tomberait le 25 décembre.
Afin d'assoir leur domination en Orient et pour clouer le bec à tous les petits cultes, le Pape Libère décréta finalement en 354 que la célébration de la naissance du Christ tomberait, elle aussi, le 25 décembre ! Depuis plus de 1600 ans, nous fêtons donc la naissance du petit Jésus à cette date jamais remise en cause.
Et comme il s'agissait d'arroser la venue au monde de l'enfant de Dieu, la fête de Jésus est rapidement devenue la fête de tous les petits enfants, à qui on racontait des histoires merveilleuses au coin du feu. Le 25 décembre est ainsi devenu, au fil des siècles, une des fêtes religieuses les plus populaires et les plus gaies : la fête de la famille et des enfants.
Comment Saint-Nicolas devint Santa Claus
Toujours au IVe siècle, nous rejoignons maintenant la côte sud de la Turquie, dans l'ancienne ville de Myre. Là-bas, comme dans toutes les villes chrétiennes, un bon petit évêque faisait régner la paix perpétuelle de Dieu. Il se nommait Nicolas et il devint malgré lui un martyr, puis une légende, et finalement un Saint.
L'évêque Nicolas est mort vers l'année 345, très certainement un 6 décembre et peut-être tué par les Romains. On le considéra donc comme un martyr, à qui on attribua des dizaines de légendes et de miracles, grâce auxquels l'Eglise le canonisa.
Le jour de sa mort devint l'occasion d'un véritable culte : le 6 décembre, on fête la Saint-Nicolas.
Et comme par hasard, les principales légendes qui lui sont associées concernent des enfants, qu'il aurait sauvés de morts affreuses ou de prostitutions infâmantes. La Saint-Nicolas est donc une fête des enfants, à qui l'évêque rend visite dans la nuit du 6 décembre pour leur offrir des cadeaux. S'ils ont été sages.
Les reliques de Nicolas furent conservées à Myre pendant des siècles (voir la vidéo touristique sur l'église de Saint-Nicolas désormais pleine de badauds)
Mais, vers 1087, une bande d'Italiens attirés par la légende n'hésitèrent pas à voler les restes de Saint-Nicolas pour les ramener chez eux, à Bari, sous prétexte que celui-ci y était passé au cours de sa vie. Puis, vers 1090, le lorrain Charles Aubert, chevalier de Varangéville, qui passait par Bari, récupère à son tour un morceau du Saint et le ramène chez lui : dans ce qui deviendra la basilique de Saint-Nicolas le Port, près de Nancy.
L'ancien évêque turc, après plus de 700 ans de voyages, atteint la Lorraine. De là, son culte se répand dans tout le Nord et l'Est de la France, puis dans les actuels Pays-Bas, en Belgique et en Allemagne. Et voilà comment les Chrétiens du Nord de l'Europe ont appris à faire la fête, avec leurs enfants, le 6 décembre.
Tout se passe merveilleusement pour Nicolas jusqu'à la Réforme. Luther dont l'influence devint immense en Europe du Nord, trouvait en effet cette célébration par trop catholique. Certains continuèrent malgré tout à la célébrer discrètement et, aux Pays-Bas, un groupe de supporters acharnés parvint à le maintenir quasi officiellement sous le nom de Sinter Klaas (traduction de Saint-Nicolas, en flamand dans le texte).
C'est un siècle plus tard que l'Histoire rejoint l'Amérique. Nous sommes alors en pleine période d'explorations du nouveau continent, sur lequel les Hollandais fondent, à partir de 1614, la colonie de la Nouvelle Amsterdam. Qui deviendra en 1667, après plusieurs années de guerres anglo-hollandaises… New York. Anglais et Hollandais entament alors une période de cohabitation durant laquelle des échanges en tous genres s'opèrent. Les Hollandais refilent notamment à leurs vainqueurs l'idée d'une bonne grosse fête le 6 décembre, en l'honneur de Sinter Klaas. Les Anglais, incapables de prononcer un nom pareil, le renomment à son tour pour lui donner une sonorité plus familière : Santa Claus.
Le gros bonhomme en rouge et blanc
L'histoire moderne du Père Noël peut commencer. Pendant longtemps, les Anglais continuent de fêter Santa Claus le 6 décembre, puis la naissance de Jésus le 25. Mais après tout, ce sont deux fêtes consacrées aux enfants à trois semaines d'intervalle. Autant n'en faire qu'une…
Peu à peu, les Anglais transportent donc Santa Claus au 25 décembre et le laissent libre de venir offrir des cadeaux aux bambins. Ils conservent aussi la vieille tradition religieuse qui voit en Nicolas un ancien évêque des débuts de la chrétienté, vieux et famélique, transporté par une pauvre mule décharnée. Rien de très joyeux a priori.
Mais aux Etats-Unis d'Amérique, on comprend très vite que, pour plaire aux enfants, il faut les faire rêver. C'est pourquoi, ce 23 décembre 1823, le journal Sentinel de la ville de Troy (état de New York) publie un joli petit conte de Noël tout mignon, d'abord anonyme puis attribué à Clement Clarke Moore. Dans ce poème, intitulé « A visit from Saint Nicholas », Moore présente le dit Saint comme un bonhomme joufflu, l'air gentil et bien nourri, habillé en fourrure, portant barbe soyeuse et véhiculé par un traîneau tiré par huit rennes.
Une image un tout petit peu plus enthousiasmante que celle du pauvre vieux traîné par sa mule agonisante… D'ailleurs, le poème devient rapidement célèbre, se propage à travers les Etats-Unis puis, après traductions multiples, se disperse dans le monde entier.
La légende internationale du Père Noël prend forme. Un des premiers pays touchés sera l'Angleterre, qui associera le Santa Claus américain à ses anciennes traditions pour créer un Father Christmas dès les années 1850.
L'apparence physique décrite par Moore est ensuite concrétisée par une série de dessins signés par Thomas Nast, caricaturiste pour le Harper's Illustrated Weekly de New York.
Dès le premier dessin, réalisé le 3 janvier 1863, Santa Claus ressemble bien plus à un lutin qu'à un évêque. Au cours des quarante ans qui suivent, Nast produit des centaines de dessins similaires qui s'exportent à tour de crayon. L'image du bonhomme joufflu pénètre les esprits et, progressivement, on invente tous les détails de sa vie : dans un dessin de 1885, Nast décide que Santa Claus habite le Pôle Nord, et ainsi de suite.
Dans les années 1920, la société Coca-Cola se lance dans une campagne de pub afin d'encourager les consommateurs à se désaltérer en toute saison. Pour les arguments d'hiver, on choisit le personnage le plus représentatif de la saison : Santa Claus. A l'origine, il est représenté dans sa tenue traditionnelle de lutin, conforme aux dessins de Nast. Puis, à partir de 1931, la société fait appel à l'illustrateur Haddon Sundblom, à qui on demande de remodeler l'image du Santa Claus publicitaire. Et ce bon Haddon nous dessine un bonhomme
gras et joufflu,
![Carte postale de Louis Prang Carte postale de Louis Prang](http://asset.rue89.com/files/PascalRich/20081225prang2.jpg)
Des Pères Noël en rouge et blanc ont certes existé avant sa popularisation
par Coca Cola. En 1875, Louis Prang éditait ainsi des cartes postales
le représentant dans ces couleurs (voir l'image à droite). Mais c'est bien la boisson gazeuse qui les a fixées à jamais.
Brûlé sur les grilles de la cathédrale de Dijon
En France, il faudra attendre la fin de la Deuxième Guerre mondiale pour que les soldats américains introduisent, avec le chewing-gum, les histoires d'amour sur grand écran, le Coca et leur Père Noël. Qui mettra d'ailleurs du temps à s'installer : le 23 décembre 1951, un prêtre bourguignon un peu à cheval sur les principes brûla une effigie géante du Père Noël sur les grilles de la cathédrale de Dijon. Car l'église catholique continua de voir d'un mauvais œil ces représentations grossières d'un Saint très respectable.
Mais elle avait tort. Une tradition se doit d'évoluer sous peine de s'éteindre, surtout quand elle n'est pas très affriolante. S'il s'agissait de glorifier un vieux Turc mort depuis presque 1700 ans et même pas un 25 décembre, qui accepterait aujourd'hui de s'user les nerfs pendant des heures de courses effrénées pour les enfants ? Un vrai Père Noël, c'est quand même plus encourageant !
humour: Education stricte et résultats....
Un garçon a de si mauvaises notes en mathématiques que ses parents décident de l'enlever de l'école secondaire pour le mettre dans une école catholique réputée.
Sur son premier bulletin, ils découvrent stupéfaits et heureux, que leur fils a récolté des notes presque parfaites dans toutes les matières. Ils l'interrogent et le garçon leur répond :
- Vous savez quand je suis allé à la chapelle du collège et que j'ai vu qu'ils en avaient cloué un sur une croix, j'ai immédiatement compris, qu'ici, les profs ne rigolaient pas !
Sur son premier bulletin, ils découvrent stupéfaits et heureux, que leur fils a récolté des notes presque parfaites dans toutes les matières. Ils l'interrogent et le garçon leur répond :
- Vous savez quand je suis allé à la chapelle du collège et que j'ai vu qu'ils en avaient cloué un sur une croix, j'ai immédiatement compris, qu'ici, les profs ne rigolaient pas !
Perles glanée dans le monde de l'enseignement
quelques perles glanées dans le monde de l'enseignement ...
>
> _ classe de primaire_
>
>
> . Soit la phrase : « le voleur a volé les pommes ». Où est le sujet ?
> Réponse : En prison.
>
> 2. Quel est le futur de « je baille » ?
> Réponse : Je dors.
>
> 3. Qu’est-ce que de l’eau potable ?
> Réponse : C’est celle que l’on peut mettre dans un pot sur la table.
>
> 4. Qu’est-ce qu’est un oiseau migrateur?
> Réponse : C’est celui qui ne peut se gratter que la moitié du dos.
>
> 5. Quoi faire la nuit pour éviter les moustiques?
> Réponse : Il faut dormir avec un mousquetaire.
>
> 6. À quoi sert la peau de la vache ?
> Réponse : Elle sert à garder la vache ensemble.
>
> 7. Pourquoi le chat a-t-il quatre pattes?
> Réponse : Les deux de devant sont pour courir, les deux de derrière pour
> freiner.
>
> 8. Quand dit-on « chevaux » ?
> Réponse : Quand il y a plusieurs chevals.
>
> 9. Qui a été le premier colon en Amérique?
> Réponse : Christophe.
>
> 10. Complétez les phrases suivantes.
> a) À la fin, les soldats en ont assez...
> Réponse : d’être tués.
>
> b) Je me réveille et à ma grande surprise ...
> Réponse : je suis encore vivant.
>
> c) La nuit tombée ...
> Réponse : le renard s’approcha à pas de loup.
>
> 11. L’institutrice demande : « Quand je dis ‘je suis belle’ quel temps
> est-ce ? »
> Réponse : Le passé, madame.
>
> 12. Pourquoi les requins vivent-ils dans l’eau salée ?
> Réponse : Parce que dans l’eau poivrée, ils éternueraient tout le temps
>
>
> _au Québec ... en primaire _ y a pas qu'en France tout de même ...!!!
> _
>
> _
>
> *
>
> Les Égyptiens transformaient les morts en momies pour les garder
> vivants .
>
> *
>
> Les Amazones étaient comme des femmes, mais encore plus méchantes.
>
> *
>
> Les empereurs organisaient des combats de radiateurs.
>
> *
>
> Clovis mourut à la fin de sa vie.
>
> *
>
> Les mauvais élèves étaient souvent décapités.
>
> *
>
> Quand les paysans avaient payé leurs impôts, ça leur faisait un
> gros trou aux bourses.
>
> *
>
> La mortalité infantile était très élevée, sauf chez les vieillards.
>
> *
>
> Jeanne d'Arc n'aimait pas trop qu'on la traite de pucelle.
>
> *
>
> L'armistice est une guerre qui se finit tous les ans le 11 novembre.
>
> *
>
> Les nuages les plus chargés de pluie, sont les gros cunnilingus.
>
> *
>
> Les Américains vont souvent à la messe car les protestants sont
> très catholiques.
>
> *
>
> La Chine est le pays les plus peuplé avec un milliard d'habitants
> au kilomètre carré.
>
> *
>
> Pour mieux conserver la glace, il faut la geler.
>
> *
>
> Le passaqe de l'état solide à l'état liquide est la niquéfaction.
>
> *
>
> Un kilo de mercure pèse pratiquement une tonne.
>
> *
>
> La climatisation est un chauffage froid avec du gaz, sauf que
> c'est le contraire.
>
> *
>
> Autrefois, les Chinois n'avaient pas besoin d'ordinateur car ils
> comptaient avec leurs boules.
>
> *
>
> Les fables de La fontaine sont si anciennes qu'on ignore le nom de
> l'auteur.
>
> *
>
> Les peintres les plus célèbres sont Mickey l'Ange et le Homard de
> Vinci.
>
> *
>
> Le chien, en remuant la queue, exprime ses sentiments comme l'homme.
>
> *
>
> Les lapins ont tendance à se reproduire à la vitesse du son.
>
> *
>
> Pour faire des oeufs, la poule doit être fermentée par un coq.
>
> *
>
> Les poissons sont bien adaptés à l'eau. On dit qu'ils ont le pied
> marin.
>
> *
>
> Grâce à la structure de son oeil, un aigle est capable de lire un
> journal à 1400 mètres.
>
> *
>
> La femelle du corbeau s'appelle la corbeille.
>
> *
>
> Les calmars géants saisissent leurs proies entre leurs
> gigantesques testicules. .
>
> *
>
> Les escargots sont tous des homosexuels.
>
> *
>
> L'artichaut est constitué de feuilles et de poils touffus plantés
> dans son derrière.
>
> *
>
> Le cerveau des femmes s'appelle la cervelle.
>
> *
>
> Après un accident de voiture, on peut être handicapé du moteur.
>
>
> _
>
> _ classe de primaire_
>
>
> . Soit la phrase : « le voleur a volé les pommes ». Où est le sujet ?
> Réponse : En prison.
>
> 2. Quel est le futur de « je baille » ?
> Réponse : Je dors.
>
> 3. Qu’est-ce que de l’eau potable ?
> Réponse : C’est celle que l’on peut mettre dans un pot sur la table.
>
> 4. Qu’est-ce qu’est un oiseau migrateur?
> Réponse : C’est celui qui ne peut se gratter que la moitié du dos.
>
> 5. Quoi faire la nuit pour éviter les moustiques?
> Réponse : Il faut dormir avec un mousquetaire.
>
> 6. À quoi sert la peau de la vache ?
> Réponse : Elle sert à garder la vache ensemble.
>
> 7. Pourquoi le chat a-t-il quatre pattes?
> Réponse : Les deux de devant sont pour courir, les deux de derrière pour
> freiner.
>
> 8. Quand dit-on « chevaux » ?
> Réponse : Quand il y a plusieurs chevals.
>
> 9. Qui a été le premier colon en Amérique?
> Réponse : Christophe.
>
> 10. Complétez les phrases suivantes.
> a) À la fin, les soldats en ont assez...
> Réponse : d’être tués.
>
> b) Je me réveille et à ma grande surprise ...
> Réponse : je suis encore vivant.
>
> c) La nuit tombée ...
> Réponse : le renard s’approcha à pas de loup.
>
> 11. L’institutrice demande : « Quand je dis ‘je suis belle’ quel temps
> est-ce ? »
> Réponse : Le passé, madame.
>
> 12. Pourquoi les requins vivent-ils dans l’eau salée ?
> Réponse : Parce que dans l’eau poivrée, ils éternueraient tout le temps
>
>
> _au Québec ... en primaire _ y a pas qu'en France tout de même ...!!!
> _
>
> _
>
> *
>
> Les Égyptiens transformaient les morts en momies pour les garder
> vivants .
>
> *
>
> Les Amazones étaient comme des femmes, mais encore plus méchantes.
>
> *
>
> Les empereurs organisaient des combats de radiateurs.
>
> *
>
> Clovis mourut à la fin de sa vie.
>
> *
>
> Les mauvais élèves étaient souvent décapités.
>
> *
>
> Quand les paysans avaient payé leurs impôts, ça leur faisait un
> gros trou aux bourses.
>
> *
>
> La mortalité infantile était très élevée, sauf chez les vieillards.
>
> *
>
> Jeanne d'Arc n'aimait pas trop qu'on la traite de pucelle.
>
> *
>
> L'armistice est une guerre qui se finit tous les ans le 11 novembre.
>
> *
>
> Les nuages les plus chargés de pluie, sont les gros cunnilingus.
>
> *
>
> Les Américains vont souvent à la messe car les protestants sont
> très catholiques.
>
> *
>
> La Chine est le pays les plus peuplé avec un milliard d'habitants
> au kilomètre carré.
>
> *
>
> Pour mieux conserver la glace, il faut la geler.
>
> *
>
> Le passaqe de l'état solide à l'état liquide est la niquéfaction.
>
> *
>
> Un kilo de mercure pèse pratiquement une tonne.
>
> *
>
> La climatisation est un chauffage froid avec du gaz, sauf que
> c'est le contraire.
>
> *
>
> Autrefois, les Chinois n'avaient pas besoin d'ordinateur car ils
> comptaient avec leurs boules.
>
> *
>
> Les fables de La fontaine sont si anciennes qu'on ignore le nom de
> l'auteur.
>
> *
>
> Les peintres les plus célèbres sont Mickey l'Ange et le Homard de
> Vinci.
>
> *
>
> Le chien, en remuant la queue, exprime ses sentiments comme l'homme.
>
> *
>
> Les lapins ont tendance à se reproduire à la vitesse du son.
>
> *
>
> Pour faire des oeufs, la poule doit être fermentée par un coq.
>
> *
>
> Les poissons sont bien adaptés à l'eau. On dit qu'ils ont le pied
> marin.
>
> *
>
> Grâce à la structure de son oeil, un aigle est capable de lire un
> journal à 1400 mètres.
>
> *
>
> La femelle du corbeau s'appelle la corbeille.
>
> *
>
> Les calmars géants saisissent leurs proies entre leurs
> gigantesques testicules. .
>
> *
>
> Les escargots sont tous des homosexuels.
>
> *
>
> L'artichaut est constitué de feuilles et de poils touffus plantés
> dans son derrière.
>
> *
>
> Le cerveau des femmes s'appelle la cervelle.
>
> *
>
> Après un accident de voiture, on peut être handicapé du moteur.
>
>
> _
Père Spicace, jeu de mots au monastère
Père Spicace !
>
> Un grand malheur est arrivé à l'abbaye et j'ai la pénible mission de vous en faire part.
>
> Mardi soir, pendant que l'abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l'abbé Quille perdit l'équilibre dans l'escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope.
>
> Les révérends pères, en perdant l'abbé Quille, perdaient leur seul soutien.
>
> Un seul restait joyeux : le père Fide. Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le saint Plet l'aide à comprendre ce qui c'était passé mais rien n'y fit.
>
> Après l'accident de l'abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l'abbaye. Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après.
>
> Le lendemain fut donc célébré son enterrement. Chacun fut appelé à l'abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage. La messe fut dite sur une musique de l'abbé Thoven. Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir. A la fin de l'homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain, l'abbé N'Pé.
>
> Après la messe, une grande discussion s'engagea pour le transport de la bière : l'abbé Canne et l'abbé Trave voulaient passer par les champs.
>
> Le Père Clus s'y opposa. L'abbé Casse en fut enchanté. Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre. Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits.
>
> Finalement on décida que, comme à l'accoutumée, l'abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt. Devant la tombe creusée par le Père Forateur et en l'absence du Père Missionnaire, l'abbé Nédiction donna l'absolution. Le Père Venche et l'abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe. Celle-ci fut recouverte d'une belle pierre tombale préparée par l'abbé Tonneuse. Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant.
>
> Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin. L'abbé Vitré était lui aussi plein de larmes. La Mère Cédès, invitée pour l'occasion, fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord.
>
> A l'arrivée, le Père Sil et l'abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux. Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun pu se remettre de ses émotions.
>
>
> Signé : L'abbé BICI
>
> Un grand malheur est arrivé à l'abbaye et j'ai la pénible mission de vous en faire part.
>
> Mardi soir, pendant que l'abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l'abbé Quille perdit l'équilibre dans l'escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope.
>
> Les révérends pères, en perdant l'abbé Quille, perdaient leur seul soutien.
>
> Un seul restait joyeux : le père Fide. Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le saint Plet l'aide à comprendre ce qui c'était passé mais rien n'y fit.
>
> Après l'accident de l'abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l'abbaye. Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après.
>
> Le lendemain fut donc célébré son enterrement. Chacun fut appelé à l'abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage. La messe fut dite sur une musique de l'abbé Thoven. Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir. A la fin de l'homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain, l'abbé N'Pé.
>
> Après la messe, une grande discussion s'engagea pour le transport de la bière : l'abbé Canne et l'abbé Trave voulaient passer par les champs.
>
> Le Père Clus s'y opposa. L'abbé Casse en fut enchanté. Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre. Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits.
>
> Finalement on décida que, comme à l'accoutumée, l'abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt. Devant la tombe creusée par le Père Forateur et en l'absence du Père Missionnaire, l'abbé Nédiction donna l'absolution. Le Père Venche et l'abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe. Celle-ci fut recouverte d'une belle pierre tombale préparée par l'abbé Tonneuse. Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant.
>
> Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin. L'abbé Vitré était lui aussi plein de larmes. La Mère Cédès, invitée pour l'occasion, fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord.
>
> A l'arrivée, le Père Sil et l'abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux. Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun pu se remettre de ses émotions.
>
>
> Signé : L'abbé BICI
Sans pantalon... ou le Viagra du pauvre!
Et nos gosses font des conneries ! l
Danger!!! Le photographe intrépide!
Attention! la prise photo peut être dangereuse!!!! En ces temps de fêtes, avant d'offrir réfléchissez! Lol
Le rhume et ses variantes selon le sexe!!!
conception réaliste :dans l'chou!
Ce qu'elle dit, ce qu'il entend...
Jesus en Palestine et ses copains
Ce qui fait rire à chaque fois...
mardi 12 novembre 2013
samedi 9 novembre 2013
dentiste...
samedi 21 septembre 2013
femme et roues voilés!
Libellés : Humour
Arabie Saoudite,
femmes voilées,
humour
Deux choses l'une....
Le chat selon Hemingway
Le chat est d’une honnêteté absolue, les êtres humains cachent, pour une raison ou une autre leurs sentiments. Les chats non. E Hemingway
mercredi 4 septembre 2013
Syrie ... Monsanto CQFD
Syrie.... Ce qu'il fallait dire...
"Nous allons faire la guerre en - "Alors pourquoi tu ne
Syrie, parce qu'ils empoisonnent bombardes pas Monsanto,
les enfants" c....rd ?
|
samedi 11 mai 2013
Inscription à :
Articles (Atom)